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Servius : Ça s’enferme, les registres.
Glaucia : Ah bon ?
Servius : Ouais. Et les trous-du-cul qui font pas leur boulot aussi, ça s’enferme.

— Servius réprimandant Glaucia qui n'a pas tenu le registre de la caserne. (Miles Ignotus)


Publius Servius Capito est un noble romain qui agit comme le bras droit de Sallustius.

Description[]

Physique[]

Servius est un homme d'âge moyen, aux cheveux courts et foncés, et aux traits durs, ayant souvent l'air agacé. Il porte le plus souvent une toge claire et des sandales symbolisant son rang dans la société romaine.

Personnalité[]

C'est un homme au tempérament vif qui envoie facilement des remarques désobligeantes aux personnes qu'il n'apprécie pas. Avec les autres, il est plutôt avenant, bien qu'un peu brutal.

Histoire[]

Passé[]

15 ans avant le début du Livre VI, il était à la tête de la caserne de la milice urbaine, avant de laisser son poste à Glaucia[1].

Livre VI[]

Il apparaît pour la première fois dans Miles Ignotus aux côtés de Sallustius, qui se fait menacer par les autres sénateurs. Agacé par les remontrances, il menace les sénateurs et essaie de convaincre Sallustius de ne pas les écouter et de partir. Plus tard, ils discutent au sudatorium et Servius est toujours d'avis de ne pas accorder de crédit aux dires des sénateurs. D'après lui, ils ne connaissent rien à la politique ou à la guerre, il énumère les défauts de chacun d'eux mais ils sont interrompus par l'arrivée de Lurco, qui leur parle de l'Épée des Rois censée accorder le pouvoir royal à quiconque la détient en Bretagne. Suite à cela, Sallustius intime à Servius de trouver un Breton afin d'en apprendre plus à ce sujet.
Celui-ci se rend donc à la caserne, qu'il dirigeait auparavant, car il se rappelle avoir accueilli un enfant breton quinze ans plus tôt. Il vient consulter le registre, dont on lui apprend qu'il n'a pas été utilisé depuis son départ, ce qui l'agace profondément. Heureusement, Procyon le trouve rapidement et Capito retrouve la trace d'un des deux enfants qu'il avait accueillis, Falerius, qui lui parle d'Arturus. Faisant venir Arturus, il décide de l'emmener voir Sallustius, même si le jeune soldat n'a aucun souvenir de son enfance en Bretagne.
Dans le bureau de Sallustius, ce dernier et Servius interrogent Arturus. Effectivement, Arturus se souvient d'avoir retiré l'Épée des Rois, il part du principe que tous les enfants le font, mais Sallustius demande s'il a vu d'autres enfants le faire. Ce n'est pas le cas. Servius renvoie Arturus à la caserne et demande à Sallustius s'il doit aller chercher un autre Breton. Faute d'informations, Sallustius décrète qu'il faut aller en Bretagne. Servius rechigne à l'idée, mais comme Sallustius n'a pas le temps, ce sera à lui d'y aller.
Arrivé au mur d'Hadrien dans Centurio, Servius essaie de discuter avec Macrinus. Cordius les interrompt pour annoncer que les Chefs de Clans bretons sont en train de se réunir, ce que Servius trouve positif puisqu'ils ne peuvent pas se supporter. Macrinus met en garde : au contraire, s'ils arrivent enfin à se mettre d'accord, l'emprise romaine sur la Bretagne est fichue. Les deux hommes s'installent pour manger et Servius est agacé par l'aide de camp.
Servius compte finalement repartir pour Rome. On lui apporte alors un message de Sallustius, qui lui demande de rester un peu pour trouver Merlin, un nom dont Arturus s'est souvenu sous les interrogations du sénateur. La tâche s'annonce compliquée avec ce seul nom comme information, mais juste à ce moment-là, Merlin tombe d'un arbre derrière le camp fortifié. Servius le fait venir avec lui à Rome.
Dans Præceptores, Servius présente Merlin à Arturus. Il intime au jeune centurion de faire visiter Rome à Merlin pendant que celui-ci lui rappellera son passé et la situation en Bretagne. Servius les laisse se débrouiller, mais avant de partir, il indique à Arturus que celui-ci à rendez-vous à la villa Aconia à midi, et insiste pour qu'il soit propre et ponctuel.
Par la suite, Sallustius et Servius reçoivent Glaucia et Procyon au palais impérial. Ils l'autorisent à punir Manilius comme il le souhaite, mais lui interdisent toute manigance contre Arturus, prétendant qu'il est le protégé de Cæsar.
Les sénateurs se réunissent à nouveau dans Arturi Inquisitio, tous étant opposés à suivre Sallustius et à supporter la nouvelle élévation d'Arturus au rang de Dux Bellorum. Sallustius perd finalement patience, assurant qu'il aura bientôt l'Épée des Rois, que cela leur donnera la Bretagne et justifiera son grade. Une bagarre éclate lorsqu'un sénateur demande où il va la trouver, et que Servius répond qu'il la trouvera « dans son cul ».
Très énervé, Sallustius sort du Sénat en demandant à Servius d'assassiner les quatre sénateurs. Servius rechigne à le faire, préférant qu'Arturus assassine un ennemi de la nation romaine pour justifier son grade et les apaiser. Finalement, Sallustius acquiesce, et Servius part chercher un ennemi à liquider.
Il est finalement convenu qu'Arturus devra assassiner un Chef Ostrogoth en visite officielle. Le jeune centurion est d'abord réticent mais après un rendez-vous avec Cæsar, il fait irruption dans le bureau de Sallustius pour annoncer qu'il va réaliser la mission. La seule condition, c'est que Manilius soit libéré et gracié, ce que Sallustius accepte immédiatement. Servius va s'en occuper. Par la suite, Servius est aussi présent pendant la fête pour s'assurer qu'Arturus accomplit bien la mission.
Après le meurtre, dans Dux Bellorum, Sallustius et Servius retrouvent les autres sénateurs au sudatorium pour leur faire signer la montée en grade d'Arturus, comme convenu. Servius assure que le costume de Dux est déjà prêt et Sallustius, menaçant, les fait signer un à un. Peu après, Servius mène le nouveau Dux Bellorum dans les rues de Rome. Arturus se plaint de son uniforme, mais Servius lui assure qu'il doit le porter. Tous deux se rendent à la caserne, où Glaucia est en train de punir les soldats. Servius se contente d'observer, mais Arturus en est incapable et quitte la tente.
Sallustius et Servius retrouvent les sénateurs au sudatorium. Ceux-ci se plaignent de ne pas être suffisamment détendus à cause des plans de Sallustius, aussi Servius propose-t-il de les frapper. Sallustius souhaite leur faire signer une nouvelle tablette afin qu'Arturus devienne Dux Totius Britanniæ. Devant les moqueries des sénateurs, Servius menace et insulte de plus belle. Selon eux le Dux ne mérite pas son grade, alors Sallustius fait remarquer qu'eux non plus ne méritent pas le leur, les forçant à nouveau à signer. Servius ajoute qu'ils doivent aussi faire apprêter une trirème pour le voyage d'Arturus. Sallustius s'en va, laissant Servius d'assurer que tout le monde signe.
Arturus parti pour la Bretagne, Sallustius et Servius le rejoignent dans Lacrimosa. Servius reproche d'abord à Cordius son manque d'organisation pour recevoir une visite diplomatique, et lui ordonne de faire à manger pour Sallustius. Le sénateur ayant ensuite rendez-vous avec Arturus sur la plage, Servius s'y rend avec lui.
Sur la plage où ils le rejoignent, Arturus a réuni des Bretons. Sallustius et Servius sont heureux d'apprendre que la fédération bretonne est en bonne voie mais choqués d'apprendre que la condition est que les romains quittent la Bretagne. Le jeune Roi fait démonstration de l'animosité des Bretons à l'égard de l'envahisseur et, devant la ferveur de la fédération, Sallustius est contraint céder la Bretagne. Magnanime, Arturus l'autorise à prétendre qu'il est un Roi placé par l'Empire, et Sallustius et Servius repartent à Rome avec amertume. Avant de partir, Servius assure à Arturus que s'il revient à Rome, il le fera assassiner.

Relations[]

Lucius Sillius Sallustius[]

C'est le sénateur que Servius protège et conseille. En effet, Servius semble faire du zèle dès qu'il s'agit de protéger Sallustius des attaques aussi bien orales que physiques, et Sallustius doit souvent le calmer.

Anecdotes[]

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Apparitions[]


Références[]

  1. Livre VI, épisode 1 : Miles Ignotus

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