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Vibius Pisentius Petrus aussi appelé Pisentius est un sénateur romain.
Description[]
Physique[]
Personnalité[]
Histoire[]
Passé[]
Comme ses collègues sénateurs, il est devenu sénateur par piston, n'ayant jamais servi dans la Légion.[1]
Série[]
Livre VI[]
Pisentius apparaît avec les autres sénateurs, Flaccus, Desticius et Lurco lors d'une scène au sénat avec Sallustius, sénateur lui aussi et conseiller de Cæsar. Ils lui reprochent l'état de l'empire qu'ils jugent déplorables et estime qu'il faut une nouvelle conquête pour qu'ils puissent conserver une dignité. Ils jettent leur dévolu sur la Bretagne, dont la moitié est déjà conquise, enjoignant à Sallustius de rendre Rome maîtresse de la totalité de l'île. Plus tard, Sallustius reçoit un message laissé par Flaccus et Pisentius, qui veulent savoir où il en est concernant la Bretagne (Miles Ignotus).
Les sénateurs se retrouvent à nouveau avec Sallustius, agacés par le moyen de conquête de la Bretagne que celui-ci propose : il est entré en contact avec un soldat de la milice urbaine d'origine bretonne, voulant l'utiliser comme prête-nom en utilisant la coutume bretonne de l'épée des rois. Ils ne veulent pas d'une conquête manigancée, qui plus est qui fait fi de la hiérarchie, mais d'une conquête dans l'ordre habituel romaine : une guerre violente et sanguinaire. L'entretien se termine lorsque Sallustius quitte la pièce, exécré, et les autres sénateurs sont forcés de reconnaître qu'il maîtrise les sorties dramatiques (Centurio).
Les sénateurs sont une fois de plus furieux des manigances de Sallustius. En effet, il a élevé au grade de centurion Arturus, le soldat breton de la milice urbaine, sans justification aucune. Sallustius s'évertue à les faire comprendre que cela fait partie de son plan pour conquérir la Bretagne, mais les sénateurs ne veulent pas s'y soumettre puisque Arturus n'a même pas l'épée des rois avec lui. Leur conversation s'achève dans une bagarre générale. Plus tard, les sénateurs sont présents à une fête dans la villa Aconia à laquelle sont invités des chefs ennemis. Soudain, l'un de ces derniers, le chef ostrogoth, est assassiné au couteau par Arturus, le soldat protégé de Sallustius, à la vue de tous les invités pétrifiés. Tout le monde s'enfuit dans la panique (Arturi Inquisitio).
Alors que les sénateurs essayent de se détendre dans le sudatorium, Sallustius les exhorte à signer une tablette conférant le grade de dux bellorum à Arturus qui s'est démarqué par l'assassinat d'un chef ennemi lors de la fête, chef ennemi dont il était urgent de se débarrasser selon les sénateurs. Les sénateurs refusent d'abord, prétextant qu'il ne mérite pas ce grade puisqu'il n'a pas fait ses preuves sur un champ de bataille. Les sénateurs n'ayant pas plus d'arguments et certainement moins d'autorité que Sallustius, celui-ci finit par obtenir ce qu'il veut des quatre sénateurs, qui signent la tablette les uns après les autres d'un air de dépit. Encore plus tard, la même scène se répète, Sallustius voulant cette fois-ci les faire signer une tablette pour qu'Arturus soit Dux totius Brittaniæ. Après les moqueries et les désapprobations de ses collègues, Sallustius les confronte à leur propre mérite : eux non plus ne méritent pas leur place au sénat, y étant entrés par un concours de circonstances ; pour ce qui est de Pisentius, il n'a pas effectué une seule année dans la légion. Après une autre demande d'accord, cette fois pour affréter un trirème pour conduire Arturus en Bretagne et une énième sortie dramatique de Sallustius, les sénateurs finissent encore une fois par signer la tablette (Dux Bellorum).
Relations[]
Nom de la personne x[]
Anecdotes[]
Apparitions[]
- Livre VI (4 épisodes)
Références[]
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avec le nom « VI.5 » définie dans <references>
a un attribut de groupe « » qui ne figure pas dans le texte précédent.